dimanche 29 juillet 2007

ADDICTED

Bon, si vous ne me voyez pas souvent par les temps qui courent et sautillent par delà les vents et marées néfastes que la mer a bien voulu nous laisser en héritage à contre-coeur contre son gré...*reprend son respire* et bien c'est parce que je passe tous mes temps libres sur CE JEU.

Mais, ne vous en faites pas, je finirai bien par me lasser un de ces jours,
Oh fidèle lecteur (au singulier).

mardi 24 juillet 2007

Mme Collin: Planificatrice Financière


Bien que malléable et svelte, l'harmonie discordante d'antan n'a d'écho que dans les plus chastes profondeurs de l'âme. Armée de son habituelle machette conceptuelle, elle s'épivarde à la va comme je te pousse en bas des escaliers tout en faisant fi des fiferons indissociables et accueillants.

L'amour qui tergiverse tout autour de la panacée humaine qu'elle réclame, se targue de bien vouloir le bien d'autres truies impersonnelles et écarlates. Le Groin-Land en mal de vivre sur un récif munit d'un paquebot en guise de parapet, il s'enlise et il sent Lise, la renifle de toutes ses facultés olfactives nasales.

Un Lhasa Apso émoustillé devant tant de grenailles intestinales se révèle au grand jour comme la souche du mal obscur qui, depuis un futur lointain, viendra dérober les mouches magiques du plateau Mont-Royal ensanglanté.

Tu me regardes avec des yeux de biche égarée du haut de tes 5 pieds 3 pouces en te demandant si dans une autre vie, je voudrais bien de toi dans mon lit ce à quoi je répond promptement, mais c'est dans CETTE vie-ci que je te veux dans le dedans de ce dit lit qui est mien. Je ne veux pas attendre une autre vie, soumets-toi femme de caisse populaire, soumets toi à la tentation mais délivres-moi du mal, loin dans l'au-delà... au delà du RÉER.

dimanche 22 juillet 2007

Our time is running out


Le temps passe, mais moi, est-ce que je passe avec lui ou bien je reste là à le regarder passer, à le regarder me dépasser? Je crois que ma personne se trouve à l'intérieur d'un vortex (in)temporel où le temps est figé ce qui expliquerait pourquoi le temps me dépasse ainsi et pourquoi je suis toujours dépassé par les évènements.

Le temps se mesure quand il est passé mais non quand il est à venir. Combien de temps ça prend pour aimer à nouveau? Combien de temps pour se remettre de plusieurs deuils consécutifs? Combien de temps pour renaître de ses cendres? Combien de temps pour retrouver un sourire oublié? Combien de temps avant de retourner le sablier?

Le temps est bien imparfait à présent, il est donc impératif que mon passé antérieur ne fasse pas ombrage à un futur que je veux le plus simple possible.

vendredi 20 juillet 2007

Aimant, si passion


Bon, comme je veux bien que vous me suiviez, je vais vous tenir par la main au début.

Je vous mets donc en situation:

11 Avril 1997, 19:37, Lachenaie, Kioubec, Kanada

7 ressortissants Kurdes, ressortent justement, d'un petit lama miniature, ils aspergent de poivre de cayenne la jeune Samantha, 43 ans, mère monoparentale et personnage fictif d'un post quelconque sur un blog exponentiellement fade et sans saveur. Même une DeLorean carburant au plutonium et atteignant les 88 miles à l'heure ne pourrait ressentir toute les joies et toute la colère d'un monde insondable sous le joug du mercantilisme aérien excroissant de beurre et autres déconfitures fruitées.

Nima Mazhari observant la scène assis sur son balcon lunaire fraîchement éructé de mille et une phalanges recroquevillées, s'écria d'une voix tonitruante et empreinte d'une sérénité à faire éjaculer un arbre mort: "L'essence de la vie coûte trop cher, maudites pétrolières, Pedro Katana, Kjell (Dahlin), B.Esso, Ultra-Mort, TAXE SA COKE et Monsieur Sergaz qui est une pâle copie de Luigi sauf que lui ne saute pas plus haut que son frère." On l'enferma à cause de son caractère gras, arial et italique.

Une pluie de pouliches en tous genres s'abattue sur la ville comme un dermatologue en vacances sur le canal rideau dans un canot gossé à même les entrailles d'un vieux chef indien, celui-là même qui posait sur les sacs de chips Yum-Yum, pour ensuite disparaître dans la nature après avoir kidnappé sa propre mère ménopausée et propriétaire d'un cimetière pour animaux.

Tu cliques sur Démarrer ---> Fermer la session GROS PIGEON BONASSE...
Tu cliques sur le bouton "Changer D'utilisateur" et tu cliques sur le bouton correspondant à l'utilisateur VOL AU DESSUS D'UN NID DE PRÉPUCES.

Dans la brume, tu peux apercevoir ta propre mort, tu pourrais presque la toucher si elle n'avait pas si peur de toi. Tu pleures mais les larmes ne coulent pas, ce sont plutôt tes cheveux qui tombent, puis la nuit. Finalement, ton coeur cesse de se débattre, sort de son socle, puis tu t'endors seul, loin du corps que tu adores.

jeudi 19 juillet 2007

De Goldorak à Simon Templar

L'agréabilité de la personne qui me sert est généralement inversement proportionnelle à ma propre agréabilité. Mes sourires ne semblent pas attirer d'autres sourires mais plutôt des airs conditionnés à être bête. De toute façon, la société est faite de façon à nous faire regretter d'être de bonne humeur. C'est pourquoi il faut se fondre en elle et adopter la baboune nationale lorsque nous sommes seuls. On n'a pas le droit d'être heureux seul, voilà je l'ai dit. Observez les gens seuls dans le transport en commun, n'ont-ils pas l'air tristes et déprimés?

Dans un autre ordre d'idées, dans la catégorie "c'était plus drôle quand c'était moi le jeune voyou", j'ai été victime de vandalisme sur la personne de ma voiture. Le rétroviseur de droite a été kické littéralement en pleine nuit, je l'ai trouvé le lendemain matin, reposant inerte sur la portière au bout des fils électriques qui le retenait. (Non maman pas "La Postière" avec Michèle Richard, la portière de mon char tsé l'affaire avec des pineus).

Je ne pensais pas qu'avoir un char de pépère (Hyundai Sonata 2001 avec un custom logo Ford) pouvait engendrer la rébellion d'un jeune incompris, en mal de destruction spontanée et probablement sous l'effet de quelconque substance anabolisante comme le thé au jasmin ou la tisane de tilleul. Bon ça va me coûter un bras cette histoire je le sens, que je réclame aux assurances ou non.

Pour terminer de façon totalement hors contexte, voici de la poésie néo-cutanée pour le plaisir de votre neurone esseulé...

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L'ambition chaste d'un mime muet
Transcende et chasse les assourdis
Volage et flasque comme Mahomet
Urine son âme sur le tapis

Le pivot d'une souche profonde
Creuse et rotate la généalogie
De ses ancêtres et de sa soeur
Sentiments tabous quand tu me tiens

Voyager
Je n'aime pas ça
Si c'est voyager sans toi
Je n'aime pas les couleurs
De ce paradis
Qui ne valent rien sans toi

La moribonde Solange Coulombe
Restitue ta gaspacho
Banalise les attentats
Saupoudre de joie les vergetures de son entrecuisse

Bouteille noire
Faux espoirs
Douze point-noirs
Wonderbar




mardi 17 juillet 2007

Blueprint d'une commotion cérébrale


On entend l'alarme qui sonne à 7hAM, on se demande pourquoi on laisse le réveil-matin à CKOI (au moins y a Alexandre Barrette), on se dit qu'on va changer de poste une autre fois puis on snooze, on fait du lavage parce qu'on se rend compte qu'on n'a plus rien à se mettre avant d'aller bosser, on se douche, on regarde ses orteils, on pense à du parmesan, on trouve qu'on a trop de poil pubien et qu'on devrait raser tout ça, On se regarde dans la glace en se disant qu'on serait bien plus beau sans lunettes pis on pense à ce que coûte une chirurgie des yeux au laser et à la peur de devenir aveugle, on parle de ciment avec son proprio, on reste jammé sur le métropolitain juste assez longtemps pour perdre la boule, on arrive en retard à une rencontre importante, on se rend compte qu'on est pas habillé pour l'occasion, on essaie de ne pas fixer le décolleté d'une gestionnaire, on visite des nouveaux locaux, on mange au resto sur le bras, on reprend le métropolitain en restant jammé juste assez longtemps pour perdre la boule, on parle de vernis avec son proprio, on blog une journée plate, on se dit qu'on aurait probablement dû écrire un post absurde, on se nounoit.

dimanche 15 juillet 2007

BULLES ÉPHÉMÈRES


Voici le récit véridique et vrai de la véritable histoire de ma rencontre factuelle et fortuite avec une amie de mon ex-blonde. (À ne pas confondre avec mon ex-blonde fictive)

Alors que je déambulais allègrement en gambadant, longeant la rue St-Denis pour je ne sais quel motif superflu, j'aperçu sur mon chemin une amie de mon ex. Il s'agissait de Mélanie T. (appelons là Julie pour les besoins de ce post) qui descendait seule et à vive allure une pente assez abrupte en prenant bien soin d'éviter les lignes antipathiques du trottoir.

Rendu à mon niveau, elle ralentit sa cadence et me jeta un regard scrutateur avec un sourcil relevé, regard qui voulait dire : "Me semble que sa face, son allure négligée et son corps chétif mais néanmoins svelte et compact me dit quelque chose mais comme je ne peux pas trouver de qui il s'agit en 2 secondes, je vais poursuivre mon chemin comme si de rien n'était"

À sa défense, il est vrai que j'avais bien changé depuis la dernière fois que nous nous étions vu. À cette époque, je portais encore sûrement la barbe et les cheveux longs ce qui me donnait les allures d'un acteur malpropre et moyennement médiocre des années 70(name-dropping welcomed). Mais ce jour-là, avec mes cheveux tondus et ma barbe d'à peine quelques jours, il est vrai que j'étais méconnaissable pour une "connaissance" qu'on a vu que quelques fois dans sa vie dont la dernière remonte à 2 ans alors que j'étais encore avec celle que je considère aujourd'hui comme l'antéchrist.

Toujours est-il que MOI, je l'avais reconnu, donc je me retournai après qu'elle eût passé son chemin et lui cria "Hey Julie!". Elle s'arrêta alors et fit demi-tour.

"Salut Julie, ça va? Long time no see?" Lui dis-je timidement

"Hey salut, oui ça va" répondit-elle ne se rappelant visiblement pas de mon prénom

"Tu ne te rappelles pas de mon nom hein?" demandai-je avec le sourire en coin

"Je sais que tu es l'ex de CENSURÉ. Attends c'est Ma... Maxi... Mart... Mathieu c'est ça?"

- "Oui c'est ça, 2 morceaux de robots pour toi"

- "Haha"

- "Bon on se fait la bise?" Lui dis-je d'un ton moqueur

Sans hésiter, elle m'enlaça et me fit un câlin sans pudeur. Je suis resté surpris car il faut vous imaginer qu'il s'agissait d'une personne à qui l'on a adressé la parole que 2 ou 3 fois et que l'une de ces fois c'était pour dire "Tu me passerais-tu le sel SVP?". Il est aussi vrai que depuis la fin de ma relation avec Satan, je m’étais refermé sur moi-même et n'étais plus habitué à ces contacts corporels chaleureux. Une sorte de réaction chimique entremêlée d'une douce tension sexuelle eût lieu en l'espace d'une seconde, le genre de sensation enivrante qui vous donne l'envie de continuer de vous lever chaque matin ou même l'après-midi.

"Vas-y! Gâtes-toi la grande" dis-je pour simuler le fait que j'étais à l'aise avec cette étreinte. "Je suis célibataire maintenant tu sais alors tu peux descendre tes mains plus bas et caresser les courbes lascives de mon portefeuille"

- "Ouais justement, c'est ça qui m'attire les portefeuilles chez les hommes anyway" dit-elle en riant nerveusement et en cherchant mes fesses du regard

En dérision, je lui présentai alors mon postérieur munit d'une paire de jeans Guess et d'un épais portefeuille bourré de carte d'affaires dont je n'aurai sans doute jamais besoin. "Tu peux les essayer (mes fesses) avant d'acheter, mais fais attention c'est de la marchandise de seconde main"

Après que je me sois retourné pour lui faire face, elle s'exécuta sur le champ, palpant ma fesse gauche et mon combo "fesse droite-portefeuille" délicatement en me tirant vers elle.

Ce qui au départ n'était qu'une blague se transformait rapidement en malaise agréable, une presqu'inconnue palpait mon cul en pleine rue St-Denis... Je restai silencieux.

Elle déplaça alors sa main droite vers mon entrejambe depuis l'arrière et effleura la résidence de monsieur testicule... OMG on se serait crû dans une annonce de Tag ou Axe ou autre cochonnerie d'herbes à chats pour femmes.

Comme le tout était devenu si surréaliste, je décidai alors d'entrer dans le jeu, je la pris par les hanches, mes pouces reposant doucement sur la peau découverte de son bas ventre et déposa mes lèvres sur les siennes. Alors là c'était comme si mon âme sortait de mon corps pour devenir une caméra qui tournait tout autour de nous, observant la scène à la manière d'un film d'amour quétaine avec Molly Ringwald et Steve Guttenberg.

Les yeux fermés, j'entendais les passants penser tout haut "Get a room damnit" et dans un sens je comprenais leur réaction. Mais c'était comme si le temps était arrêté, mes mains remontèrent sous sa camisole blanche jusqu'a sa poitrine et le simple baiser se métamorphosa en violent "french" où la salive profitait vraisemblablement d'un nouvel accord non verbal de libre-échange. J'entendais son cellulaire qui sonnait.

"Il faut vraiment que j'y aille... Mathieu" dit-elle en reprenant son souffle et son sac à main qu'elle avait déposé sur le trottoir.

Elle me jeta un dernier regard puis un petit sourire complice et reprit sa course folle.

Comme un camionneur qui venait de renverser un petit garçon sur son vélo, j'étais en choc nerveux et tremblais me demandant ce qui venait de se passer. Je restai immobile pendant une minute, fixant le sud.

...

Il y a déjà 3 semaines de cela et je me demande encore aujourd'hui. Ces trucs-là n’arrivent jamais, surtout pas à moi. Ai-je rêvé ce moment? Ai-je passé quelques secondes dans le Twilight Zone? Pourtant j'ai un beau ticket de parking qui me prouve que j'étais bel et bien sur la rue St-Denis cet après-midi-là et j'ai l'odeur de son parfum qui ne me quitte pas.

Reste à étudier la théorie voulant que je possède des pouvoirs de persuasion télépathique qui envoûtent les gens et les obligent à réaliser les fantasmes de mon subconscient.

Bulles éphémères
Et mots courants

mardi 10 juillet 2007

NOSTALGIE AVEC GUY


Minuit, mes yeux se fermaient d'eux même, j'effleurais lascivement du bout des doigts le bouton d'alimentation de mon moniteur pour l'éteindre afin que sa lumière n'affecte pas mon sommeil quand soudain, ce simple geste me donna l'envie folle de regarder "Electric Dreams"... immédiatement, ça ne pouvait pas attendre.

Recherche alors d'un torrent du film qui vient me hanter 23 ans après sa sortie et qui m'oblige à le regarder sur-le-champs sans quoi je ne pourrai pas m'endormir. Une heure plus tard, le torrent déjà complété (beaucoup de nostalgiques debout à cette heure de la nuit semblerait-il). Je peux enfin accomplir ma mission et regarder ce splendide Low-Fi VHS-RIP.

Le film, bien que ce soit la première fois que je le visionne en version originale est identique à mes souvenirs et les émotions vécues en le regardant sont exactement les mêmes que jadis sauf que maintenant je catche les références sexuelles dans la scène se déroulant au ciné-parc.

Le splendide duo violoncelle-ordinateur, la touchante quête d'amour des 3 protagonistes, l'affrontement entre Edgar et Miles/Moles, l'étreinte finale entre ceux-ci, la rencontre entre Edgar et Madeline(magnifique Virginia Madsen) et finalement la "feelgood song" à la fin. Tout est exactement pareil comme dans mes souvenirs.

Suis-je rendu un émo nostalgique qui pleure en écoutant un vieux film? sans doutes.
(dis-je en serrant mon moniteur très fort contre moi)

I only knew you for a while
I never saw your smile
Till it was time to go
Time to go away

lundi 9 juillet 2007

M'AS-TU DIT "DE BONNE HUMEUR" ?

.
On
me demande souvent "Mathieu, pourquoi mais pourquoi cet amour inconditionnel pour les dromadaires et le gel douche à la fraise?" Ce à quoi je répond généralement de façon nonchalante et désabusée mais quand même avec une certaine conviction dans ma voix au trémolo saillant : " J'ai jamais payer une cenne d'impôt pis c'est pas aujourd'hui que ça va commencer"

Non mais à quel sein se vouer, quand on possède un abonnement à la télé câblée? Les vétérinaires de la Rive-Sud devraient prendre exemple justement sur les garagistes et mettre un frein à toute cette escalade de vaccins inutiles contre des maladies inexistantes telles le scorbut félin et la lèpre canine.

Quand la pleine lune sera venue , j'ajusterai les lumières pour ma vue et je viole, violerai, Mélodie (la marionnette dans Passe-Partout souffrant de gigantisme) en chantant "Hommage à Duplessis" dont voici d'ailleurs un extrait:


Duplessis, c'est bien tout ce que je veux, Duplessis. Pour en allumer les feux et laisser dans un souper, quelques gouttes de Duplessis.

La différence entre les nouilles Ramen et la laitue romaine? Au moins 60 cennes.
Dans le film "Pas de répits pour Mélanie" y a Vincent Bolduc pis un fucking lama (ou une autruche c'est pas clair) c'en est trop, à quoi tu penses Roch Demers? On exige le retour de Marie-Stéphane Gaudry au grand écran.


La mutinerie dans nos contrées, les moustiques se rebellent contre l'éjaculât frais de nos contribuables membres d'une tribu de cons très immuables.

Solange Harvey le disait dans son courrier du coeur : "Patrice, il faut prendre son temps avec une femme ayant été victime d'agressions durant sa jeunesse". L'auberge du chien noir c'est pas si mauvais que certains le prétendent. Bonne continuation à Sylvie Lussier et Pierre Poirier, vous faites de la belle ouvrage.


Rictus et Satanas

dimanche 1 juillet 2007

POÉSIE (sys)THÉMATIQUE


Humecter de mes lèvres, la peau lisse de ton front
Engueuler en hiver, la police d'un ton franc
Déposer dans mon compte, la police de ton frère


VITO & GÉNITO


VITO : Nous devrions nous acheter
oune voitoure
GÉNITO : Ma qué cé qué tou racontes Vito hé? Oune voitoure?
VITO : Ma si, oune voitoure pour pouvoir aller voir Mamma
GÉNITO : Mamma? Ma elle habite en Italie La Mamma. Kacékétivo qu'on fasse d'oune voitoure?
VITO : Je n'en sais rien Génito, jé n'ai pas encore trouvé de chute à ce gag, mamma mia.