vendredi 27 février 2009

Losanges dans nos champagnes

Glo-oh-oh-oh-oh-oh
Oh-oh-oh-oh-oh
Oh-oh-oh-oh-ory hole
Six inches in the hole

L'importance du pluriel

Close your eye and I'll kiss you
Tomorrow I'll diss you
One night with a cyclop will do
And when I'll run away
You'll be blinking anyway
And I'll stop all my drinking thanks to you

All my drinking, will stop thanks to you
What was I thinking, fucking one-eyed Sue

I'll just pretend I'm not seeing
The eye that you're missing
And hear all the people go "eew!"
And while I'll run away
You'll be crying anyway
And I'll stop all my drinking thanks to you

All my drinking, will stop thanks to you
What was I thinking, fucking one-eyed Sue

jeudi 26 février 2009

Le Dialogue


Julie-Lune Auriole et Étoile Montant se racontaient leurs exploits de la veille dans une petite pièce irruptable, à l'abri des oreilles indiscrètes. Nous usâmes donc d'omniscience et surprîmes leur conversation en employant divers stratagèmes littéraires convenus.

(…)

Julie-Lune: …en me donnant des petits coups de pénis dans le visage.
Étoile: Ah oui vraiment? Est-ce que tu…

À ce moment, un jeune homme fit irruption dans la pièce.

Julie-Lune: Joey?
Joey: Julie-Lune.
Étoile: Joey?
Julie-Lune: Ben oui tsé Joey là.
Étoile: Aaaah Joey.
Joey: Étoile?
Étoile: Oui, Étoile, haha.
Joey: Étoile et Julie-Lune, eh ben.
Julie-Lune: Euh Joey?
Joey: Oui Julie-Lune.
Julie-Lune: Est-ce que tu…

À ce moment, un second jeune homme fit irruption dans la pièce.
(NDLR: À ce moment, la pièce était vraiment irruptée au maximum)

Julie-Lune: Jonas?
Dallot: Jonas? Non Dallot.
Julie-Lune et Étoile: Dallot?
Dallot: Oui Dallot.
Joey: Hey Dallot.
Dallot: Oh Joey salut.
Julie-Lune: Joey?
Joey: Oui Julie-Lune.
Julie-Lune: Tu connais Dallot?
Joey: Oui Julie-Lune, je connais Dallot.
Dallot: Salut Julie-Lune et toi tu dois être Étoile?
Étoile: Oui Dallot, je suis Étoile.
Dallot: Étoile Montant?
Étoile: Oui Dallot, Étoile Montant.
Dallot: Haha. Julie-Lune Auriole, Étoile Montant et Joey Juneau. Eh ben...
Joey: Joey Juneau Jr.
Dallot: Désolé. Et Joey Juneau Jr alors.
Julie-Lune: Et toi tu dois être Dallot Delisle?
Dallot: Oui, Dallot Delisle.
Julie-Lune, Étoile, Joey et Dallot: Eh Ben...

lundi 23 février 2009

Les stigmates de Luc De Larochellière


Aujourd'hui j'ai envie de trasher sur la toune Cash City.
J'ai le goût de te lancer de petits regards fruités. (À ne pas confondre avec de petits Edgard Fruitier) Je veux que tu me tiennes la main jusqu'à demain. À Cash City. Ce soir, je sentirai bon en pensant à l'économie mondiale. J'inventerai mille et une façons de mourir en souriant. Je contemplerai la vie du haut de mes souliers en feignant l'inaptitude et en mangeant des Tubes. À Cash City. J'embrasserai des lèvres inconnues pendant l'auberge du chien noir. J'avancerai à pas de tortue tout en frappant des lièvres en état d'apesanteur. Je m'aspergerai de douceur en gesticulant. Je mettrai le doigt sur le bobo parce que ça me plaie. J'exulterai ma joie sans l'aide de mon testicule gauche, dans une ville qui n'est belle que la nuit.

Plus tard je ferai mon barreau et t'enverrai en prison en te lisant tes droits et en te chantant des chansons qui ne parlent de rien mais qui veulent tout dire de mon chagrin et des tourments qui m'affligent quand je sens bon en suivant mon destin de jeune premier qui s'arrange pour finir dernier de toute une liste de personnes tristes et pas trop futées qui semblent bien trop s'amuser mais qui au fond ont le panier percé au bord de la montagne de la vie qui s'est précipitée sur moi comme on se précipite sur une roche et ça fait plock et si ton absence se fait sentir comme la ponctuation de cette phrase sans fin remplie de mots qui meurent au souvenir de ton visage c'est que mon coeur tremble encore chaque fois que je pense à toi et si parfois je t'oublie et je sens que je meurs j'essaie de pleurer pour oublier la douleur en pensant à tes reins et en serrant les .

vendredi 20 février 2009

Mise au point


Pour éviter toute confusion malaisante, je tiens à préciser qu'il ne s'agit pas de moi sur la photo de l'homme avec les moules à la main.

Contrairement à ce type, je ne montre pas mes moules à n'importe qui.
Non madame.