vendredi 24 janvier 2003

VESTIGES DE SÉRÉNITÉ

Le flegme inepte de l’esprit post-jubilatoire étend son savoir au-delà de l’abjecte réalité sans pour autant circonscrire aux règles qui le transpose dans le socle dorsal, indigeste et repus, qui pourfend le mal, tel un conquistador flétri en manque de sensations fortes, en s’invectivant devant les chastes créatures qui l’entourent et le scrutent dans l’optique ultime de pouvoir coincer la fibre de son âme déchue pour l’assouvir finalement en implorant les fugitifs moments qui peuvent échapper à ces illusions, narquoises et futiles, noyées dans le néant que représente le fin fil de l’espace continu, antagoniste de l’ère nouvelle qu’il veut bien prêcher dans son message d’espoir résolu, grégaire et sudiste, tourmenté simultanément par l’ambiguïté de son éternelle jalousie face à l’un et l’autre, sans pour autant y parvenir adéquatement d’une manière équitable et juste pour la moitié restante de sa sphère de connaissances néo-nuptiale et hérétique.

J’attends donc vos réactions et commentaires en grand nombre sur ce sujet chaud et humide.

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