La Zique
Les lasers dans mes yeux ont fait fondre le feu
Qui se trouvait derrière d'où émanait la lumière
Ils ont tué la beauté ce qu'il restait de bleu
Ce qu'il restait de beau sous mes bouteilles de verre
On peut tuer un homme en lui coupant les yeux
Pour lui voler son âme et sa partie de Dieu
Les lasers qui lacèrent qui lui serrent l'iris
Accentuent l'appel du père pour que le rejoigne son fils
Mes paupières se reposent, se posent, se superposent
Elles peaufinent leurs peaux fines sur mes globes oculaires
Elles ont mal et elles glandent sur mes glandes lacrymales
Qui cessent de fonctionner venu le temps de pleurer
Que j'te voye rejoindre ton père.
RépondreEffacerSalut bottle man... j'aime beaucoup ton blogue. C'est la première fois que je le lis plus en profondeur et je compte bien revenir.
RépondreEffacer@Nayrus: Tu me verras pas de toute façon.
RépondreEffacer@Celui qui blogue: T'es tombé en pleine semaine du festival "poésies et facéties", c'est sûr que c'est pas le party comme ça 365 jours par année. Au cours des prochaines semaines, il va y avoir un grand ménage ici. Premièrement, il va falloir ramasser toutes les cannettes de Mountain Dew(notre commanditaire) qui traînent un peu partout, payer les artistes et techniciens qui ont participé au festival puis tenter de retourner dans leurs pays d'origine les prostituées russes, les lanceurs de mimes et les éléphants magiques qui se sont déplacées exprès pour l'occasion.