lundi 7 janvier 2008

Le premier signe de l'apocalypse


Depuis quelques semaines au Québec, il est absolument impossible de différencier un journal télévisé d'un bulletin météo.

Verglas, redoux, neige, pluie, brouillard, déneigement, reneigement, soleil, vent...
J'écoute pas les nouvelles pour savoir quel temps il fait dehors, quel temps il faisait il y a 10 ans ou ben savoir qu'est-ce que le monde pense du temps qu'il fait dehors... tabarnak! Les fenêtres existent pour une raison (Regarder baiser mes voisins laids n'en est pas une)
Pourquoi pas la pression barométrique en manchettes tant qu'à y être?

La pression barométrique est si haute sur le sud-ouest du Québec qu'elle fait exploser les prothèses mammaires en silicone. On rappelle aux téléspectateurs que cette crête de haute pression a littéralement décimé 39% de la population californienne il y a 4 jours. Le gouvernement suggère donc aux femmes à risques de s'ablatir les seins avec un tranche-papier et aussi de prévoir une transfusion sanguine dans les 3 jours ouvrables

Pourquoi tant de haine? Moi qui suis habituellement si calme et posé? C'est sûrement le temps qu'il fait à l'extérieur qui me rend si maussade...

4 commentaires:

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  2. De l'avantage d'avoir des p'tits seins de Bakélite.
    ...
    Depuis quelques mois, en France, il est impossible de différencier un journal télévisé d'une publicité pour Sarkozy.
    ...
    Si tu veux je me sacrifie, on échange (le JT, mes seins si tu veux bien, je les aime, je les garde).

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  3. Ça nous prendrait une élection ou un scandale, et la météo redeviendrait la spécialité de Météo-média.

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  4. Mais voyons, on sait tous que rien ne se passe d'important ici comme ailleurs dans le monde. Et de toute façon, on ne va quand même pas prendre le risque de créer de véritables citoyens?

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Remplir la bouteille...