jeudi 25 juin 2009

Le dernier refuge

Il existe quelque part un endroit indolore
Un asile impassible aux envers de la vie
Incolore et inerte aux abords de la mort
Qui, remplie de mépris, me guette et m'épie

3 commentaires:

  1. L'âme du poète
    porte la mort comme un boulet
    porte la vie comme un cilice

    la connaissance de cause

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  2. Ce n'était pas fini les rimes?

    Joli quand même.

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  3. @le neurone: Mon neurone hoche ses dendrites en signe d'approbation.

    @Frédérique: Il y a de ces choses qui valent mieux qu'elles ne se terminent pas immédiatement lorsqu'on le souhaite.

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Remplir la bouteille...